La cadence des insertions professionnelles des jeunes s'accélère ces derniers temps, avec la récente signature de deux conventions paraphées entre l'administration en charge de l'Insertion professionnelle et deux opérateurs économiques, dans le cadre du Fonds d'aide et d'insertion professionnelle (FIR).
Près de 125 jeunes Gabonais inscrits à l'Office national de l'emploi (ONE) vont bénéficier, dans les prochains jours, d'une insertion à la Gabonaise de gestion et de services (2GS) et à Engen Gabon.
Les conventions qui déclenchent ce mécanisme d'insertion professionnelle, d'une durée d'un an à 2GS, et de deux ans à Engen Gabon, ont été signées entre les autorités en charge de l'insertion des jeunes et les responsables des deux entreprises précitées.
Le ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation technique et professionnelle et de l'Insertion des jeunes, Eloi Nzondo, qui a supervisé cette opération, a rappelé le contexte historique de ce programme : « Il découle des Assises sociales de 2014, qui ont élaboré le contrat d'apprentissage obligatoire dans les entreprises de plus de 50 employés. Une des conditions d'accès aux marchés publics. »
Ainsi, près de 110 jeunes vont-ils développer leurs compétences et se perfectionner aux métiers de la sécurité et du gardiennage à 2GS.
F.A.
Retournez à la rubrique Gabon économie Gabon
random pub
Articles associés
Les autorités de la Transition ont hérité du régime déchu d’une situation économique extrêmement fragile marquée par une dette abyssale qui représente aujourd’hui près de 70 % du PIB du pays.
Alors que les traditionnels organismes de financement internationaux ferment leurs vannes au Gabon en raison des incertitudes liées à la période de transition, comment trouver les moyens pour lance
Dans une lettre parvenue à notre Rédaction, la société britannique Aggreko, partenaire stratégique de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), vient d’annoncer qu’elle procédera au rétablisse
La plateforme Digitax tient déjà toutes ses promesses. En à peine 3 mois, elle vient d’enregistrer 258 milliards de francs de recettes fiscales.
La crise dans le secteur pétrolier, née des incompréhensions entre les responsables des entreprises et les employés, alimentés par les syndicats, dont l’Organisation nationale des employés du pétro
Après l’échec de plusieurs structures devant permettre l’accompagnement et l’éclosion financière des PME/MPI, les autorités de la Transition ont réfléchi à un nouveau modèle plus efficace et plus i
