Florentin Moussavou: Sur le plan international, un grand moment de rencontre et d'échanges. Mais en ce qui concerne notre pays, c'est le lieu de s'interroger sur le parcours que nous avons les uns et les autres dans l'exercice de ce métier d'enseignant. Un métier qui aujourd'hui apparaît comme un sacerdoce (...). On ne devient pas enseignant par hasard, on le devient par choix de vie. (...)Comment faire pour que les concitoyens comprennent que nous faisons un métier qui est compliqué, difficile mais qui a également des moments de plaisir ?
Où en êtes-vous, aujourd'hui, avec l'affichage des orientations qui se fait toujours attendre?
L'affichage devrait se faire dans les toutes prochaines heures. (...) Nous avons pris l'option de tenir compte du lieu de résidence des enfants, de manière à éviter les grandes transhumances (...). Pour ce qui est des facteurs extérieurs,(...) nous avons connu une période post-électorale très agitée, qui nous a amenés à considérer l'exigence de la prudence, afin d'éviter que les élèves n'aillent pas affronter des situations qu'ils ne pourraient pas maîtriser.
Sur la problématique du manque des tables-bancs ?
Nous sommes engagés dans des partenariats (...), qui devraient nous amener, dans les tous prochains jours, à bénéficier d'un lot de table-bancs (...) On devrait aller au rythme de 15 000 (...) par mois, à partir de de la mi-octobre.
Confirmez-vous que la rentrée des classes aura lieu le 17 octobre prochain?
Concernant la date de rentrée des classes, le principe a toujours été que la rentrée administrative la précède d'au moins deux semaines. Je crois avoir répondu.
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