Le Parti démocratique gabonais (PDG) alimente l'actualité politique nationale. Mais pas toujours en bien, au regard de ses dysfonctionnements enregistrés et déplorés ici et là.
L'Union : Dans la province de la Ngounié, on assiste à un déchirement des troupes provoqué par l’affrontement désormais ouvert entre deux membres du Comité permanent du Bureau politique, Guy Bertrand Mapangou et Yves Fernand Manfoumbi, pour ne pas les citer. Qu’attendez-vous pour arrêter ces attitudes à haut risque pour le parti et même pour la politique du chef de l’Etat ?La situation qui prévaut dans la Ngounié nous préoccupe énormément. C’est dire que nous nous en émouvons, et nous attelons à y trouver des solutions idoines, durables, l’instance dirigeante du Comité permanent du Bureau Politique en particulier. Les deux hiérarques du parti que vous citez, désignés par le Distingué camarade président Ali Bongo Ondimba comme tous les autres responsables, sur la base de la confiance, s’imaginent, puisque ça leur réussit jusqu’à présent, qu’en faisant croire au chef qu’ils sont les plus populaires, ce dernier continuera à avoir en eux une confiance inébranlable. Illusion.
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