Mais qu'en est-il de la liberté de la presse au Gabon? C'est l'une des questions que les professionnels des médias publics et privés ont soulevées, hier, en présence du ministre de la Communication, Alain Claude Bilie by Nze, à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée hier.
"ACCES à l'information et aux libertés fondamentales : c'est votre droit !" C'était le thème retenu pour l'édition 2016 de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée hier à Libreville à l'auditorium de la Maison Georges-Rawiri. En présence du ministre de la Communication, Alain Claude Bilie by Nze, les femmes et hommes des médias ont saisi cette occasion, qu'ils considèrent comme une tribune idéale, pour exprimer leurs préoccupations aux pouvoirs publics. Conformément à l'esprit de la thématique, ils se sont interrogé sur la liberté de la presse en question. Une liberté qui, selon eux, a connu ces derniers mois des entorses regrettables.
La liberté d'expression est un droit humain et fondamental dont doivent jouir les professionnels des médias. Dans cet ordre d'idées, les journalistes n'ont pas passé sous silence les questions liées aux réformes de leur secteur. Lesquelles tardent à prendre forme, notamment l'amélioration de leurs conditions socio-professionelles.
Prissilia MOUSSAVOU MOUITY
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