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Politique

Discours à la Nation du chef de l’État : ''Ce n'est pas une exigence constitutionnelle !''

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Le secrétaire exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy-Christian Mavioga, l'a martelé hier, à la faveur d'une déclaration au siège de sa formation politique à Oloumi dans le 5e arrondissement de la commune de Libreville.

Le secrétaire général exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy-Christian Mavioga, a effectué une sortie, hier, au cours de laquelle il a tenu à couper court au débat entretenu par certains agitateurs autour du traditionnel discours des vœux à la Nation du chef de l’État, le 31 décembre.

L'ancien porte-parole de la Majorité républicaine et sociale pour l'émergence estime qu'au regard de ''la situation que nous connaissons tous'', à savoir l'état de santé du président de la République, "nous pouvons nous passer de cette coutume qui, aujourd'hui, semble avoir une force de loi". Étant entendu que, a-t-il poursuivi, "devant des situations particulières, les gens doivent se mobiliser vers l'essentiel. Et l'essentiel ici, c'est de faire une trêve politique pour se mobiliser autour de la première institution de la République".

Toutefois, a-t-il réitéré, "il est important que les Gabonais retiennent que la Constitution n'oblige pas Ali Bongo Ondimba à dire un discours la veille du nouvel an".

Cette position du leader du BDC devrait pouvoir, selon certains, éclairer plus d'un et surtout mettre un terme à l'agitation observée sur les réseaux sociaux et autres médias.





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