Après analyse des documents, la stratégie montrait quelques déficiences. Jusqu'ici, elle ne prenait en compte que les produits destinés à l’alimentation. Selon la directrice des PFNL, Natacha Ona, les objectifs sont désormais d'aligner la stratégie sur les considérations nationales et internationales définies, comme la Convention de la diversité biologique et le protocole de Nagoya, ou encore de prendre en compte l’environnement institutionnel.
Cette révision porte sur plusieurs axes. La sécurisation, la diversification et augmentation des revenus des populations rurales, le développement du secteur pour une meilleure contribution au PIB, de même que le renforcement de la sécurité alimentaire ou encore celui des capacités des groupes de production figurent au programme. La valorisation du savoir-faire traditionnel et de la diversité culturelle ainsi que le renforcement du cadre juridique doivent enfin être soulignés.
S’agissant des petits producteurs, le renforcement des capacités renforcées sera aussi pris en compte.
JM
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