Le chef de l'Etat est arrivé, hier soir, dans la capitale de la République de Madagascar. Il y est pour participer, aux côtés de certains de ses pairs, au XVIe sommet de la Francophonie qui se tient à Antananarivo, ce samedi 26 novembre 2016.

La première dame, Sylvia Bongo Ondimba, s’est d’abord rendue, vendredi, au centre hospitalier universitaire de Libreville, afin de visiter les « mwana » malades et leur distribuer des cadeaux. Puis, samedi, toujours dans la même dynamique, cette fois, accompagnée de son époux, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, c’est la cathédrale Sainte-Marie qui a été choisie pour honorer, comme chaque année, plus de 1000 enfants venus de toutes les paroisses de Libreville.

Aux côtés de plusieurs de ses pairs du continent et de son homologue français, le chef de l’État devrait se pencher sur la situation sécuritaire et politique en Afrique.

Lors de ses échanges avec l'actuel locataire de l'immeuble du 2-Décembre, le chef du Bureau de l'Unoca a manifesté son vif intérêt quant à la tenue du dialogue national sans tabou, tout en encourageant l'apport de plus de réponses pratiques aux préoccupations des populations.

Après plus de dix jours de réflexions, le comité ad hoc paritaire chargé de préparer le dialogue national boucle ses travaux aujourd’hui au Radisson Blu de Libreville.

La coordination des jeunes de l’Union pour la démocratie et l'intégration sociale (UDIS) a tenu à donner, samedi dernier, à la Chambre de Commerce, par la voix de Serge Luddyan Obolo, la position de cette formation politique sur nombre de sujets d'actualité.

C’est l’une des problématiques abordées, hier, par la commission 4 relative à "la consolidation de la paix et de la cohésion nationale". Au cours des discussions, les deux camps, majorité et opposition, ont livré leurs différentes approches sur le sujet.

Sur convocation de son président, Paul Mba Abessole, un Conseil exécutif du RPG s’est tenu, mercredi dernier, au siège dudit parti.

Les partis politiques de l’opposition qui ont pris part au Dialogue politique initié par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba ont exprimé leur désolation suite aux actes de violence initiés par certains compatriotes à l’étranger.

Le ministre togolais de la Fonction publique, du Travail et de la Réforme administrative, Gilbert Bawara, est porteur d'un message du chef de l'Etat du Togo à son homologue gabonais.

Le chef de l'Etat camerounais a mandaté auprès de son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba, son ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey.