Au lendemain de la IXe session extraordinaire des chefs d'États et de gouvernements de la Communauté Économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), le ministre des Affaires étrangères, Alain Claude Bilie-By-Nze revient sur cette grande rencontre. Non sans aborder la fin du dialogue politique intensifié entre le Gabon et l'Union européenne.

Comme annoncé dans notre édition du 23 janvier 2020, le président de la République togolaise, Faure Essozimna Gnassingbe, a bel et bien séjourné hier au Gabon dans le cadre d'une visite de travail et d'amitié. Le huis clos entre le numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, et son hôte a porté essentiellement sur le renforcement de la coopération entre les deux "pays frères".

Il était jusqu'à son départ membre du Bureau national, conseiller du président et conseiller national.

Le président de la Confédération patronale gabonaise (CPG), Alain Bâ Oumar, est allé remettre, hier, un rapport y relatif au Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale. En présence de plusieurs membres de la CPG.

L'épidémie à coronavirus perturbe gravement le cours normal de la vie. Au Gabon, pour limiter la propagation du virus, le gouvernement a, pour ainsi dire, pris des mesures drastiques dont la suspension des vols et autres transports. Une mesure préjudiciable à de nombreux expatriés. Aussi le gouvernement, via son ministre des Affaires étrangères, Alain-Claude Bilie-By-Nze, a-t-il décidé de revoir sa copie en autorisant certains vols.

Parti de l'opposition, disposant d'un groupe parlementaire à l'Assemblée nationale, le Rassemblement pour la patrie et la modernité, (RPM) d'Alexandre Barro Chambrier, ne manque pas l'occasion de décrypter l'actualité nationale. Lors de sa dernière réunion, tenue le week-end écoulé, le bureau exécutif dudit parti s'est appesanti sur le confinement total du Grand Libreville. Occasion d'en exiger le bilan.

C'est l'un des enseignements issus de la conférence de presse qu'a animée, hier, le chef de la diplomatie gabonaise, Alain Claude Bilie-By-Nze.

Malgré la baisse de régime imposée par le nouveau coronavirus, l'Assemblée nationale a pu effectuer tant bien que mal son travail à savoir l'examen et l'adoption de projets et propositions de lois, durant la session parlementaire qui s'est achevée hier conformément à l'article 43 de la Constitution.

Le nouveau chef de la diplomatie gabonaise a présidé, en début de semaine, une réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères, des Relations extérieures et de l'Intégration de la CEEAC.

En suspendant, pour une durée de trente jours, la déléguée générale du Centre des libéraux réformateurs (CLR), Nicole Asselé, et son adjoint 1 chargé de l'Implantation et des stratégies électorales, Alexandre Désiré Tapoyo, le président du Conseil politique du CLR, Jean Boniface Asselé, vient de rappeler à l'ensemble de ses troupes qu'il est et demeure, sans doute encore pour longtemps, le seul maître à bord du navire CLR, et qu'il ne compte nullement badiner avec quiconque nourrirait des velléités de le pousser vers la sortie. D'autant qu'en politique, plus qu'ailleurs, il n'y a guère de place pour les émotions ou les sentiments.

La fédération du Parti gabonais du centre indépendant (PGCI) de la province de l'Estuaire a, au cours d'une réunion qui s'est tenue récemment au siège social de Glass, annoncé sa participation aux législatives et présenté deux des candidats qu'elle compte positionner dans la province de l'Estuaire.

L'exécutif local du Parti démocratique gabonais (PDG) de la commune de Ntoum a communié, le week-end dernier, avec le membre du Bureau politique, Camélia Ntoutoume.