Ce dernier, ancien fervent militant du Parti démocratique gabonais (PDG) en France, vient d'adhérer au Centre des libéraux réformateurs (CLR) de Jean-Boniface Assélé. Il défendra donc les couleurs de cette formation politique membre de la Majorité républicaine et sociale pour l'émergence qui soutient le président Ali Bongo Ondimba.
On notera aussi que le Bloc démocratique chrétien (BDC) de Guy Christian Mavioga sera présent dans huit provinces sur neuf. Même si dans certaines régions, sa présence ne se manifestera que dans une seule circonscription électorale.
Le président du parti Les Démocrates (LD) dit ne voir personne initier ces assises en l'absence du chef de l'Etat. Ce d'autant que, d'après lui, "tous se réfugient derrière le président de la République''. C'est ce qu'il nous a confié dans l'interview qu'il nous accordée en marge de la célébration de 2e anniversaire de sa formation politique, qu'il place volontiers dans l'opposition. Lecture.
LE président du Bloc démocratique populaire (BDP), Paskhal Nkoulou, a fait une déclaration hier dans laquelle il est revenu sur l'actualité politique récente
L'esplanade du siège local du Parti pour la démocratie et la solidarité sociale (PDS) a servi de cadre, le week-end écoulé, à la cérémonie de présentation officielle des candidats investis par cette formation politique aux élections jumelées à venir dans la commune de Ntoum.
Jugeant illégales les assises des 5, 6 et 7 avril derniers, Michel Menga M'Essone, l'un des pères fondateurs de RHM, a dit engager, dès cette semaine, une bataille juridique contre ses anciens compagnons devenus membres et militants du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM). Car, a-t-il promis, ''RHM ne mourra pas ! ''
Voilà comment beaucoup d'analystes et autres observateurs du landerneau politique qualifient la sortie du Premier magistrat gabonais, Ali Bongo Ondimba, hier dans l'hémicycle flambant neuf du Palais Léon Mba
C'est le mot d'ordre lancé par le candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), au 1er siège du 5e arrondissement de Libreville, Guy François Mounguengui Koumba, samedi dernier, à l'endroit des populations de Mindoumbé 1, Bangos et Bissegue, où il s'est rendu tour à tour.
Celle-ci fait état de la modification de l'article 13 de la Loi fondamentale, en souhaitant voir, en cas de vacance au sommet de l'État, la personnalité habilitée à assurer l'intérim, poursuivre le mandat jusqu'à son terme.