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Société & Culture

Front social : Synafopra

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Les adhérents au Syndicat national des agents du ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Synafopra) observent un arrêt de travail depuis lundi. Ils disent reconduire un mouvement de grève suspendu, il y a trois ans, sans une réelle avancée, arguent-ils, dans les points laissés en suspens.

Mouvement d'humeur " non justifié et malsain" rétorque la tutelle, qui estime que ce n'est pas hors de leurs bureaux que les grévistes obtiendront gain de cause.

 

DEPUIS lundi, les adhérents au Syndicat national des agents du ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Synafopra) ont déserté leurs bureaux. Pour cause, le syndicat a décidé de remettre sur la table, le mouvement de grève lancé il y a trois ans, et qui avait été suspendu.

« Nous sommes en mouvement d'humeur d'avertissement de quatre jours. En 2015, nous avons initié un mouvement de grève que nous avons dû suspendre, à la suite de négociations entamées et de certains points ayant trouvé satisfaction. Un comité de suivi avait d'ailleurs été mis en place. Malheureusement, à ce jour, ce comité ne s'est réuni qu'une seule fois. Trois ans après, nous avons jugé utile de remettre au goût du jour notre cahier de revendications, parce que nous estimons avoir laissé assez de temps à l'administration pour pouvoir régler tous les points restés en suspens », a indiqué, hier, à la presse, Régis Malembe, président du Synafopra. Et de poursuivre : « Nous avons, le 25 mars dernier, transmis à notre administration de tutelle, un préavis de grève qui courait sur huit (8) jours. Nous sommes le 17 avril, nous avons donc largement dépassé les délais et, malheureusement n'avons eu, à ce jour, aucun retour de l'administration. C'est donc à juste titre que nous lançons ce mouvement d'humeur. Au delà de ces quatre jours, nous l'espérons vont permettre de concilier les deux parties, nous allons e...


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