Pour le président de Démocratie nouvelle, sa participation au dialogue inclusif et sans tabou initié par Ali Bongo Ondimba se justifie par la nécessité d'asseoir des mécanismes à même d'améliorer notre système électoral et le fonctionnement politico-institutionnel de notre pays.
LE week-end dernier, les militants de Démocratie nouvelle (DN) se sont retrouvés, au domicile de leur leader, pour lui présenter leurs vœux à l'occasion de la nouvelle année. Occasion pour René Ndemezo'Obiang de décliner la vision de sa formation à l'approche d'échéances politiques majeures, notamment le dialogue national inclusif et sans tabou et les prochaines élections législatives.
S'agissant du premier point, il a indiqué que ces assisses conditionnent la bonne tenue des élections à venir dans notre pays. "Quand nous parlons de pouvoir, pour nous, cela ne se résume pas seulement à la présidence de la République, quand bien même elle serait la clé de voûte des institutions", a-t-il indiqué.
Le président de DN a justifié par ailleurs sa participation à cette rencontre initiée par le chef de l’État. Pour lui, a-t-il dit, "il s’agit d’engager des discussions avec ce pouvoir pour précisément réformer les institutions et la Constitution, de manière à ce que les élections à venir puissent être mieux organisées et que leurs résultats soient le moins contestés possible".
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