Entre projections scolaires et grand public dans la soirée, c'est une affluence particulière - plus de 2500 entrées ! - qu'a connue l'événement cette année. Le ministre d'Etat en charge de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze, en a présidé la cérémonie de clôture.
CLAP de fin, samedi, à l'Institut français, pour les 12es Escales documentaires de Libreville (EDL), organisées, comme chaque année, par les Instituts gabonais de l'image et du son (Igis) et français du Gabon (IFG), sous le patronage du ministère de la Communication, de l’Économie numérique, de la Culture, des Arts et Traditions, chargé de l’Éducation populaire.
Depuis le 20 novembre dernier, ce sont 24 films d'ici et d'ailleurs, touchant divers aspects de l'actualité du moment, qui ont été gratuitement proposés au public.
Particulièrement alléchante, la programmation des EDL 2017 a mis en lumière, entre autres, des problématiques de l'heure, telles que la crise des migrants en Europe (" Les sauteurs" de Moritz Siebert/Estephan Wagner d'Allemagne et " Quand Paul traversa la mer" de Jakob Preuss), les courants révolutionnaires en Afrique (" Kimpa Vita" de Ne Kunda Nlada de la République démocratique du Congo et " Espoir démocratie" de Gideon Vink), ou encore des néo-phénomènes urbains comme celui des brouteurs en Côte d'Ivoire (" Vivre riche" de Joël Akafou).
Frédéric Serge LONG
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