Votre quotidien a résumé dans son dernier numéro de l'année qui vient de s'achever, l'ensemble des événements l'ayant marquée. Santé, économie, politique...

Autour des membres du Bureau politique et du secrétaire d’arrondissement, les militants du Parti démocratique gabonais (PDG) du 5e arrondissement de Libreville, étaient réunis dernièrement à la mairie de cette circonscription, dans le cadre du "week-end politique".

Sans langue de bois, le leader du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) a abordé les sujets liés aux récentes élections législatives, locales et à l'état de santé du chef de l’État.

Le ministre des Affaires étrangères, Alain-Claude Bilie-By-Nze, et le secrétaire général de la CEEAC, Ahmad Allam-Mi, ont été reçus, hier, en audience par le numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, au palais de la présidence de la République. Dans la foulée, il s'est également entretenu avec d'autres personnalités dont le ministre de l'Économie, Roger Owono Mba, et le maire de Libreville, Léandre Nzue.

Le vice-président de la République l'a déclaré hier à l'issue de la visite que le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, la présidente de la Cour constitutionnelle, Marie-Madeleine Mborantsuo et lui-même ont rendu au chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, en convalescence à l'hôpital militaire de Rabat, au Maroc.

Le directeur adjoint du Centre de formation du Groupe de publication internationale de Chine (C.I.P.G), l'entité en charge de présenter la Chine au reste du monde, Li Heng Tian, l'a laissé entendre dernièrement.

Pierre-Claver Maganga Moussavou, vice-président de la République : "L'heure n'est plus aux spéculations mais à la mise au travail de tous " SUITE aux vœux de Monsieur le président de la République, Chef de l’État, adressés au peuple gabonais pour cette nouvelle année 2019, l'heure n'est plus aux spéculations mais à la mise au travail de tous

En séjour au Vatican dans le cadre d’une visite de travail, le président de la République, Ali Bongo Ondimba s’est entretenu ce jour en tête-à-tête au Saint Siège avec Sa sainteté le Pape François

Dix ans après son accession à la magistrature suprême, quels pourraient être les contours de l'action du chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, à la tête de notre pays ? Au regard de la difficulté de l'exercice, il n'est pas aisé de répondre à cette question, de prime abord.

Cette décision vient en réaction à ce qu'il considère comme étant une "violation", par le PDG, de la charte de la Majorité républicaine et sociale pour l'émergence, surtout au niveau du choix de ses candidats à Libreville. C'est ce qui sort de sa déclaration d'hier au siège du CLR.