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Société & Culture

Roman policier : Trois questions à...Janis Otsiémi

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Présentement en séjour en Allemagne dans le cadre de la promotion de son dernier roman ''African tabloïd'', sous le titre de ''Libreville'', l'auteur en donne un avant-goût ici.

l'Union. Nous savons que vous avez reçu deux nouvelles importantes il y a seulement quelques semaines : la traduction en allemand de votre polar " African tabloïd", sous le titre de " Libreville", et votre entrée dans l'écurie de l'éditeur Plon. Un mot sur tout ça ?

Janis OTSIÉMI : Le Prix Dora Suarez arrive au moment où ma première traduction en langue étrangère paraît en Allemagne. Cette traduction élargit mon lectorat en Europe, car jusque-là, j’étais plus lu en France qu’ailleurs, même si je réside à Libreville. Et d’autres traductions dans d’autres langues sont en cours. Avec '' Tu ne perds rien pour attendre'', paru à Paris le 16 mars 2017, je porte sur mes épaules la nouvelle collection de Plon, '' Sang Neuf'', consacrée au polar francophone. Je suis assez fier que Plon ait pu faire confiance à un auteur africain et, de surcroît, gabonais, pour le lancement de ce label qui publiera chaque année entre quatre et cinq polars. Dans ce roman, je mets en scène un policier de la Sûreté urbaine de Libreville, animé par une vengeance personnelle, qui va en guerre contre l’impunité et les injustices. Les violeurs d’enfants, les criminels rituels, les braqueurs, les grands commis de l'État corrompus... n’ont qu’à se tenir à carreau. Un justicier rôde désormais dans les rues grisâtres de Libreville !

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