Dire que le Woleu-Ntem vient d'administrer une leçon de démocratie au sein du Parti démocratique gabonais qui y tenait son Conseil provincial serait un euphémisme. Les empoignades et autres dérapages annoncés par une certaine opinion n'ont pas eu lieu.

C'est l'un des vœux formulés, lundi, par le chef de l'Etat gabonais, lors de son intervention sur le thème de ces assises.

Le chef de l'Etat séjourne depuis samedi dernier à Charm-El-Cheikh, en Egypte, où il participe, depuis hier, aux côtés de son homologue égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, au Forum mondial de la Jeunesse.

Elles ont récemment exprimé ce sentiment au vice-président de la République (VPR) lors de sa tournée dans ces départements.

Cette fois, promet le président de l'Alliance pour le changement et le renouveau (ACR), "j'arrêterai lorsque les Pdgistes se repentiront". Vrai ou faux, c'est tout au moins l'engagement qu'il a pris jeudi au siège de son parti, à l'occasion d'une déclaration à la presse.

Le ministre des Affaires étrangères, Noël Nelson Messone, s'est entretenu, récemment, avec le ministre britannique, en charge du Développement international, de l'Afrique et du Commonwealth, Roly Stewart. C'était lors de la récente visite de travail à Londres du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba.

Le chef du gouvernement, tout en exprimant sa fierté, a estimé hier à N’Djamena, au Tchad, que le nouveau président de la Commission de la Cémac a le vécu politique et l’expérience nécessaires pour l’accomplissement de sa mission.

La réaction du groupe parlementaire de l'opposition au Sénat (Front uni) ne s'est pas fait attendre, au lendemain de la convocation de Jean-Christophe Owono Nguema, un des ses membres, à la direction générale des recherches.

La conférence des présidents du sommet extraordinaire des chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), qui s’est tenue avant-hier à N’Djamena au Tchad, a décidé de la mise à contribution de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC) afin de prélever cette somme pour le paiement du reliquat dû à Interpol.

Celle-ci est composée de quatre cadres du RPG qui devraient, à tour de rôle, pendant un an, diriger le parti créé par Paul Mba Abessole.

Les travaux qui ont pris fin dimanche dernier, en soirée, n’ont malheureusement pas abouti à l’élection, alors tant attendue, des nouveaux membres du Bureau politique et du Conseil national. Le scrutin aura finalement lieu les 10 et 11 novembre prochain.

Prévus pour s'achever demain, ils devraient être marqués par l'élection d'un nouveau président. Car le leader actuel du Rassemblement pour le Gabon (RPG), Paul Mba Abessole, devrait prendre sa retraite politique.