Cette fois, ce sont les étudiantes elles-mêmes qui dénoncent la situation. Locaux incompatibles avec l'enseignement, effectif pléthorique, retards d'information... Une escroquerie et un responsable.

Mieux aurait valu ne pas sortir cette nuit-là. Au coin de la rue, le couteau attendait.

Il espérait sans doute, qu'une enfant de trois ans, jamais, n'irait se plaindre. En toute impunité, pensait-il. Le temps de s'expliquer est venu.

La brigade de gendarmerie de Mitzic démantèle un vaste réseau de trafiquants d'ivoire. Présumés vendeurs et acheteurs en prison à Oyem.

Elle ne s'est posée aucune question. A peine son enfant venu au monde, qu'elle s'en débarrasse à l'arrière d'une maison, dans un fourré. Une vie qui commence...

« Chaque année, près de 750 000 enfants de moins de 6 ans sont victimes d'accidents de la vie courante. Environ 30 000 sont hospitalisés, près de 2% gardent des séquelles fonctionnelles ou esthétiques, et plus de 250 décèdent ". Un constat alarmant du site "agirmag.com".

Une fois encore, deux poids lourds impliqués dans la collision. Bilan dramatique, deux morts à déplorer.

Il en avait fait son petit négoce, et les gendarmes l'avaient dans leur ligne de mire. Fabrice Mb. N. ne les a pas déçus. Vendeur de drogue, une clientèle de collégiens qui plus est, il avait pignon sur rue. Mauvais calcul !

Aboubakar. Y.(36 ans) était en possession d'un récépissé de Carte nationale d’identité (CNI) gabonaise. Le contrôle routier lui sera fatal. Son voyage s'est achevé au poste de Bifoun.

Elle avait 12 ans et ses parents l'avait envoyée chercher de la boisson. Sur le pas de la porte, le voisin l'a surprise et forcée à rentrer chez lui.

Le comportement du matelot leur avait semblé douteux. Des allers-retours sans raison, et un sac fortement chargé. Du Cameroun, ils ne rapportaient pas seulement des denrées acceptables.

Une histoire de gamins, rien de plus. Pour quelques mangues cueillies et une paire de babouches, le sang a coulé... et la mort s'est invitée.