LES acteurs de la société civile gabonaise entendent prendre une part active lors du scrutin présidentiel à venir.
DÉCIDÉMENT, le landerneau politique, particulièrement le camp de l'opposition, est tout sauf "un long fleuve tranquille".
Avant de s'estomper hier, le durcissement était palpable à l'Hôtel de Ville de la capitale et dans les six arrondissements où l'accès à ces institutions a été interdite