L’initiative du ministère des Transports et de la Logistique de soumettre les transporteurs à une nouvelle formation dite professionnelle ne suscite pas l’assentiment des intéressés.
Les locaux du Programme de lutte contre les infections sexuellement transmissibles (Plist) et le VIH/Sida ont servi de cadre à la tenue hier, à Libreville, de l'atelier de révision de l'algorithme de dépistage du Vih au Gabon.
La ministre des Transports et de la Logistique, Estelle Ondo, s'est rendue mardi à la Société gabonaise de transport (Sogatra) où elle a relancé le service minimum, interrompu depuis quelque temps.
Les membres du Syndicat national des magistrats du Gabon (Synamag) sont montés au créneau, hier, pour dénoncer, une fois de plus, d'un ton ferme, l'ingérence du pouvoir exécutif dans le pouvoir judiciaire. C'était à la faveur d'un point-presse tenu dans la salle d'audience du palais de justice de Libreville.
Les travaux se sont déroulés en présence du ministre d’État, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Guy Bertrand Mapangou.
La Fédération des syndicats des régies financières (Fesyrefa) était en assemblée générale hier, vendredi 2 février 2018, à la chambre de commerce de Libreville. Il était question, pour le porte-parole de cette structure, Wilfred Ossialas, de présenter à l'ensemble des agents le processus enclenché, en vue de la sortie de crise.
Le contrat de don signé hier à Libreville devra permettre à cet établissement de retrouver, au terme des travaux de réhabilitation, un lustre contrastant diamétralement avec son image actuelle.
C'est en mémoire de l'enseignante syndicaliste, Martine Oulabou, décédée le 23 mars 1992, qu'est commémorée, chaque année, au Gabon, la journée nationale de l'enseignant. Le thème retenu pour l'édition 2018 est : '' Enseigner en liberté, autonomiser l'enseignant''.
Après les séances de narration des contes par l'animateur principal, Mathias Ndembet, le tour est revenu aux élèves de rendre, à leur manière, les contenus. Le complexe scolaire bilingue ''La plume d'or" en a donné le coup d'envoi.
A force de traîner le pas dans le paiement annuel de la taxe municipale, voilà les taxis obligés de jouer la course contre la montre. Des grappes de ces véhicules sont en effet visibles depuis quelques jours dans les mairies des trois communes (Libreville, Owendo et Akanda) de la capitale pour régulariser leur situation. Non sans conséquence pour les usagers.
L'opération de pose de sabots dans les communes de Libreville, Owendo et Akanda est effective depuis hier. Annoncée par un communiqué des Forces de police nationale, cette opération vise, entre autres, à mettre fin aux stationnements anarchiques des véhicules devenus monnaie courante à Libreville.