Comme l’avait fait Pierre Akendengue à son endroit, il y a plus de 30 ans à Libreville, en lui tendant la perche à l’époque du Carrefour des arts, la chanteuse, guitariste et percussionniste a partagé la scène, samedi soir, elle aussi, avec de jeunes talents gabonais, notamment Tanguy Akendengue alias Tanguino, Nanda et Mâat Seigneur Lion.
ANNIE-FLORE Batchiellilys en concert est un événement que beaucoup de personnes préfèrent souvent ne pas se faire raconter. Aucune surprise donc que la salle de spectacle la ''Boule Noire'', dans le 18e arrondissement de Paris, ait affiché complet près d’une semaine avant son concert. Le déplacement en valait d’ailleurs la peine, car, loin de lasser son public, la fille de Mighoma lui a servi un passionnant bouquet musical composé d’anciens titres, devenus aujourd’hui de grands classiques (''Mi u rondi'', ''Diboty'', ''Yitu'', ''A nos anges'', ''Mulimbu'', ''Je t’invite'', ''Kodu na kodu'', ''Le chant, c’est mon champ'', ''Bisse Ngabu'', ''Ma savu'', ''Afrique mon toit'', etc.) et de nouvelles chansons de son récent album '' A l’angle de mon être'' (« Schweitzer », « Papa Akendengue », « Ifumbe », etc.).
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