Au moment où nous bouclions le journal hier, l'important don médical de la République populaire de Chine au Gabon, arrivé finalement à Libreville par un cargo d'Ethiopian Airlines, était en déchargement à l'aéroport international Léon-Mba de Libreville. Pour réceptionner ce don nécessaire à la lutte contre le Covid-19, étaient présents sur le tarmac, l'ambassadeur de Chine au Gabon, Hu Changchun, et le porte-parole du Copil, Patrick Obiang.

Au lendemain de l'annonce du premier sujet positif de la capitale économique, ceux qui considéraient la pandémie comme un leurre révisent leurs positions.

En droite ligne du récent élan de générosité et de solidarité du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, matérialisé par la mise en place d’un fonds personnel de 2 milliards 100 millions de nos francs, destiné à venir en aide à ses compatriotes économiquement faibles immatriculés à la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs), le coordonnateur des Affaires présidentielles, Nourredin Bongo Valentin, a offert, par l’entremise du président de l’Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, un important lot de denrées alimentaires aux populations confrontées à d’énormes difficultés liées à la lutte contre le coronavirus, sur toute l’étendue du territoire national.

Du lait, du café, du thé, du sucre et, surtout, des packs d'eau. C'est l'essentiel du don de EndoFiGabon, association de lutte contre l'endométriose et l'hypofertilité chez la femme, aux personnels de santé des unités de Covid-19.

Le chef du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale, a receptionné, hier, le don d'équipements médicaux promis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus. Ce matériel est destiné au personnel soignant de l’ensemble de nos structures sanitaires.

L'opération de distribution de bons d'achat alimentaire a pris une drôle de tournure dans les trois arrondissements de la commune de Ntoum. Entre auxiliaires de commandement molestés par la population et les barricades érigées par cette dernière sur la Nationale, la situation ne semble plus maîtrisée dans cette partie du "Grand Libreville".

En droite ligne du récent élan de générosité et de solidarité du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, matérialisé par la mise sur pied d'un fonds personnel de 2 milliards 100 millions de nos francs, destiné à venir en aide à ses compatriotes économiquement faibles immatriculés à la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs), le coordonnateur des Affaires présidentielles, Nourredin Bongo Valentin, a offert, par l'entremise du président de l'Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, un important lot de denrées alimentaires aux populations confrontées à d'énormes difficultés liées à la lutte contre le coronavirus, sur toute l'étendue du territoire national.

Face au peu de considération dont semble être l'objet le personnel médical en ce temps de Covid-19, le Dr Solange Andagui Bongo Ayouma a décidé de décharger sa bile. Dans une lettre ouverte dont nous avons obtenu copie, le médecin-pédiatre fustige la stigmatisation des blouses blanches sur les réseaux sociaux. Un médecin "en colère"

Difficile de se faire une véritable idée des moyens mis à la disposition du corps médical en cette période de lutte contre le coronavirus. Pour tenter d'y parvenir, il faut se référer, par exemple, à la récente réception de matériel médical par le président de la République Ali Bongo Ondimba, du don de la Fondation Jack Ma et de celui de l'Onu.

Tirant les leçons des scènes dérangeantes de personnes agglutinées (en plein Covid-19) devant leurs guichets pour percevoir leurs salaires le 25 mars dernier, les banques et autres établissements financiers ont mis en place une organisation matérielle conséquente pour assurer aux agents de l'Etat (essentiellement militaires) un service adapté à la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus.

37% des personnes contaminées par le coronavirus sont des personnels de santé. C’est du moins ce que révélait le porte-parole du Copil.

Pas un pas sans ! Pas un véhicule sans ! De toutes les tailles, de tous les motifs. Impossible d'échapper aux masques dans le Grand Libreville en confinement général depuis le dimanche 12 avril à minuit, dans le cadre de la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19).