Au sortir de deux semaines de confinement total du Grand Libreville, la tentation est grande, surtout parmi ceux qui, d'Owendo à Ntoum, en passant par la capitale, Akanda ou la Pointe-Denis, se sont astreints à rester cloîtrés chez eux, de basculer dans l'excès inverse : s'aventurer parfois loin de chez soi, le nez en l'air et les cheveux au vent. Avec ce que cela suppose de relâchement dans le respect des recommandations sanitaires comme des règles de sécurité. Le fameux coup du balancier.