À Sainte-Marie, Saint-Pierre ou à l'Église évangélique du Gabon (EEG), les mesures barrières ont poussé à de nombreux changements dans la célébration du culte. Coronavirus oblige.
Les bureaux de La Poste SA seront fermés sur toute l'étendue du territoire national à partir de ce lundi 2 novembre 2020. C'est la décision prise, à l'unanimité, vendredi dernier, lors de l'assemblée générale extraordinaire organisée par les membres du Syndicat national de La Poste (Synaposte).
Après l'annonce des résultats finaux du Certificat d’études primaires (CEP), du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) et la publication de la liste des élèves admis en classe de 6e, le ministère de l'Éducation nationale vient de rendre public le calendrier de cette nouvelle année scolaire 2020-2021. Un agenda qui tient compte des exigences sanitaires imposées par le Covid-19 et de l'impératif de redresser le système éducatif gabonais.
Au terme d'une phase intense de sensibilisation, le Parti démocratique gabonais (PDG) est monté d'un cran, le 28 octobre dernier, dans sa lutte contre les cancers féminins. C'est ainsi qu'il a lancé une campagne de dépistage gratuite à son siège sis à Louis, dans le 1er arrondissement de la commune de Libreville.
Malgré la tendance baissière de la courbe évolutive de la pandémie de coronavirus dans notre pays, le virus continue de se propager dans la population et à arracher des vies.
La question des infrastructures scolaires, devenue récurrente ces dix dernières années, surtout à chaque rentrée scolaire, se pose cette fois avec beaucoup plus d'acuité en raison de la crise sanitaire liée au Covid -19 qui impacte plusieurs secteurs d'activité dont l'éducation.
En indiquant, il y a quelques jours, qu'il n'y aura pas, pour la rentrée scolaire 2020-2021, plus de 60 élèves par classe, le ministre de l'Éducation nationale Patrick Mouguiama Daouda a de nouveau suscité des interrogations autour du système éducatif gabonais.
Une note circulaire signée du secrétaire général du ministère de l'Éducation nationale, Théodore Koumba, place ces derniers – au même titre que les directeurs d'académies provinciales, les directeurs de zones académiques ou les chefs de circonscriptions – devant une double exigence : mettre en place un protocole de nature à garantir au personnel et aux élèves une sécurité sanitaire minimale d'une part et, d'autre part, mettre en œuvre l'ensemble du dispositif pédagogique. Pas simple.
Nettoyage et aménagement des salles de classe selon un dispositif permettant d'accueillir le moins d'élèves possible par salle et en lien avec la situation sanitaire : voilà ce à quoi se sont attelés hier l'ensemble des responsables d'établissements scolaires primaires et secondaires en vue de la rentrée des classes le 9 novembre prochain.
DIimanche passé, le mouvement féministe "Mille et Une…" conduit par sa présidente Nicole Asselé, est allé rendre visite aux patients du cancer internés à l'Institut de cancérologie de Libreville (ICL)
Après 24 et 26 ans de service à l’Office national de l’emploi (ONE), où elles ont servi à différents postes, en partant du bas de l’échelle, Clarisse Koumba et Hélène Oyane Allogho ont dit au revoir aux leurs. Une cérémonie a été organisée en leur honneur, vendredi dernier à la chambre de commerce de Libreville, par leur direction générale, en présence des collègues, tous émus de voir partir ces deux pionnières de l’ONE.
Mille litres de désinfectants auxquels s'ajoutent deux précieux appareils d'analyse de gaz sanguin destinés aux examens biochimiques. Telle est l'importante offre matérielle dont la société Transform a gratifié, le 21 octobre dernier, le Centre hospitalier universitaire de Libreville (Chul). C'était en réponse à la sollicitation formulée récemment par cet établissement hospitalier.