Le membre du gouvernement en charge du portefeuille de la Forêt, de l'Environnement et de la Protection des ressources naturelles, a bien voulu se prêter à nos questions. Dans cet entretien, il éclaire la lanterne de l'opinion sur les politiques menées par le Gabon en matière de la protection de sa biodiversité.
Monsieur le ministre, vous venez de prendre part, aux côtés du Premier ministre, à Brazzaville, à une conférence internationale sur la faune et la flore d'Afrique. Quels enseignements tirez-vous de ces assises ?Nelson Messone : Le principal enseignement qu'il faut retenir de cette conférence internationale qui vient de se tenir, à Brazzaville au Congo, du 27 au 30 avril, c'est que l'Afrique se mobilise enfin pour prendre en main, notamment au niveau de l'Union Africaine (UA), la problématique de l'exploitation illégale et du commerce illicite des produits de la faune et de la flore sauvages du continent.
Pour notre part, nous considérons ces assises comme le couronnement des efforts que n'a cessé de consentir le président de la République, Ali Bongo Ondimba, sur la préservation de nos biodiversités.
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