La rencontre d'hier a été marquée par une remise de fiches de renseignements. Les réponses au questionnaire permettront à la ministre d'Etat de l'Enseignement supérieur d'avoir une meilleure lisibilité sur le fonctionnement de ces établissements privés au Gabon.
Après les centres d'infectiologie la semaine dernière, le tour était hier aux personnels du Laboratoire national de santé publique et du Centre national de transfusion sanguine (CNTS) de recevoir le ministre de la Santé publique, Léon Nzouba.
Le démarrage des cours dans les établissements scolaires publics de Libreville était pour le moins complexe hier, quelques deux semaines après la rentrée des classes.
Le partenariat entre le Gabon et l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) s'enrichit d'un nouveau volet. L'organisme accompagnera désormais notre pays dans la mise en œuvre de sa politique de développement social et familial.
Sommés le 7 novembre dernier par le vice-Premier ministre, Bruno Ben Moubamba, de libérer sous huitaine les logements qu'ils occupent de façon illégale, les occupants des cités baptisées " l’Égalité des Chances “ et "l’Émergence” avaient jusqu'à 18 heures hier pour s'exécuter.
Seule représentante de l'Afrique subsaharienne à cette 4e édition de cette compétition organisée par la Francophonie, Samatha Biffot présentera son "Africain qui voulait voler".
Les ayants-droit aux logements de Bikélé et d' Angondjé se sont vu remettre, vendredi, leurs documents officiels. Une concrétisation que le vice-Premier ministre, en charge de l'Urbanisme et de l'Habitat social, tenait pour prioritaire.
Près de 144 mille Gabonais seraient atteints de cette pathologie. D'ici 30 ans, la prévalence pourrait atteindre les 20%. Les campagnes de sensibilisation, de dépistage du diabète et de l'hypertension artérielle ont pour fonction d'anticiper. Essentiel !
Le ministre de la Santé publique et de la Population a visité, vendredi dernier, les centres d'infectiologie de Libreville. Il s'agissait d'aller s'enquérir des modalités de prise en charge des personnes atteintes de la tuberculose.
Suite à la sommation de libérer sous huitaine les logements occupés illégalement, les habitants des cités baptisées ''Émergence'' et ''Égalité des chances'' ont sollicité la mansuétude du gouvernement.