Le Wydad Athletic club (WAC) de Casablanca (Maroc), pour mieux se concentrer sur son match aller des éliminatoires de la Ligue africaine des champions, est entré en regroupement le mardi 7 mars 2017.
Les finales se sont déroulées en présence de Pierre-Claver Moussavou Maganga et de Nicole Christiane Assélé, respectivement parrain initial de la compétition, et ministre de la Jeunesse et des Sports.
L'équipe des Forces de police nationale, avant-dernier du championnat majeur, est condamnée à se surpasser pour espérer remporter ses deux dernières rencontres et participer aux phases finales.
Vu le nombre important de défections dans le groupe convoqué par José Antonio Camacho dans l’optique du lancement de la campagne qualificative pour la Coupe d’Afrique des nations 2019, il était évident que le match amical contre la Zambie serait un terrain propice à l’expérimentation, mais surtout aux tâtonnements.
Au terme du match en retard comptant pour la 22e journée que le stade Augustin-Monedan accueille cet après-midi, et en cas de vainqueur, soit le CF Mounana aura repris le fauteuil de leader, soit Missile FC sera rentré dans les annales de la seconde partie de la saison en signant un sixième succès de rang.
« Notre compatriote, pris en charge par le club Kadrina Karud (Estonie) pendant quatre ans, n’a besoin que d’un billet d'avion. Mais nous n’arrivons pas à le financer. Notre crainte est de voir l'avenir sportif et scolaire de Myene Singatady compliqué », explique Carl Moumbogou, son encadreur.
Le comité d'organisation de la Tropicale Amissa Bongo a annoncé, mercredi, sur son compte Twitter, que la 12e édition de cette compétition aura lieu du 27 février au 5 mars prochain.
Bien qu'en apparence ils paraissaient détendus, hier, lors de la traditionnelle pesée et lors de la conférence de presse qui ont eu lieu au studio M'Plaza aux Charbonnages, on pouvait tout de même lire dans le yeux de Taylor Mabika et de Zine Eddine Benmakhlouf une certaine pression.
EN escaladant tous les paliers du sport national, notamment celui de notre football, on constate que son mal provient de la majorité de ses gestionnaires