Placé sous le thème "L'Afrique est ma chanson", le double concert du week-end écoulé a été non seulement l'occasion des retrouvailles avec l'artiste, mais aussi l'occasion de rendre hommage à Marie-Gisèle Louembet, choriste de Pierre Akendengue, rappelée à Dieu le 19 janvier dernier.
L'HEURE était aux retrouvailles et aux réjouissances, autour des valeurs d'amour et de partage, vendredi et samedi derniers à l'Institut français de Libreville,sauf que cette année, la célébration a été marquée par le décès, le 19 janvier dernier, de Marie-Gisèle Louembet, choriste et secrétaire particulière de Pierre Akendengue.
Placés sous le thème "L'Afrique est ma chanson", ces spectacles ont, comme les précédents, fait salle comble, avec des spectateurs de toutes les générations et de toutes les origines.
L'effervescence est montée d'un cran au moment du medley faisant le mix des chansons "Olando", "Nandipo", "La Maïa", "La vie c'est comme ça", "Ndjuke", "Kawbia", "Silence" et "Kukumulele". En exclusivité pour le public, deux des quatre titres de son nouvel opus ont été exécutés, notamment "La couleur de l'Afrique de ma chanson" et "Opara-para".Ces deux chansons invitent au panafricanisme et à un voyage transversal dans notre continent. Des percussions aux cuivres, en passant par le clavier, ainsi que les guitares basse et électriques, on pouvait reconnaître la touche du maître et son infatigable engagement au service de la liberté et de la vérité. « Nous sommes tous égaux malgré nos ego», indiquait-il dans une chanson.
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