Plus de place assise, jeudi au casino Croisette à l’entame du concert de Prince Martin Rompavet . Toutes générations confondues, étaient présentes pour apprécier le répertoire de ce sacré de la musique gabonaise ayant commencé sa carrière dans les années 1960. Retour sur scène...
Le musicien, tout de blanc vêtu, fait une entrée ovationnée sur la scène. Il fait observer à la salle une minute de silence à la mémoire du père du cinéma gabonais, Philippe Mory, décédé quelques jours plus tôt.
La soirée démarre. Les titres se succèdent avec des chansons entrées dans la postérité ‘’Me djovi’’, ‘’Ankakyé’’ ’’Ozangué’’ ,‘’Agnouret Anita’’, Nanda ndé’’, ‘’Marie Julie’’, ‘’Ngozo kiyombo’’, ‘’Méné’’…. qui, éveillent bien de souvenirs.
A l’entame de ‘’ Démocratie salé’’, une spectatrice, la première d’une longue série, monte sur scène, pour encourager l'artiste qu’on n'avait pas revu en concert depuis des lustres.
Bien qu’elle soit présentée comme un ‘’voyage dans le temps’’, cette soirée était avant tout promotionnelle du nouvel album ‘’Abékwè’’ (l’espoir), dont la sortie est prévue au mois de juillet.
Après un peu plus deux heures de scène, Prince Martin Rompavet a offert au public un titre de son ‘’maître’’, Pierre Claver Akengengué, en bonus. Trois autres chansons on suivi. Belle ambiance de fin avec un Rompavet revigoré, qui ne voulait plus quitter la scène !
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