En entamant par Gamba son périple dans la province de l’Ogooué-Maritime, vendredi dernier, le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Éric Dodo Bounguendza, a invité, à la place des fêtes de cette localité, ses troupes à tourner définitivement la page des dernières élections législatives, à regarder l’avenir, tout en redoublant d’effort et d’ardeur.
Des propos résolument volontaristes, d’autant que, du côté des "Pdgistes" du chef-lieu du département de Ndougou, l’on a, semble-t-il, encore du mal à digérer la perte du siège de député. Conséquence, entre autres, selon certaines indiscrétions, des guéguerres et autres animosités entre "camarades".
Quoi qu’il en soit, Éric Dodo Bounguendza s’est montré pragmatique et pédagogue. "Les batailles électorales sont ainsi faites, soit on gagne, soit on perd. En cas de défaite, il faut savoir aller de l’avant pour faire mieux la prochaine fois", a-t-il indiqué. D’autant plus que, a-t-il souligné, la vie d’un parti politique n’est nullement cantonnée aux seules échéances électorales. Et que le PDG incarne "le pouvoir, la modernité, la puissance intellectuelle et sociale. Tout en étant voué à la formation et à la promotion des cadres".
J.K.M
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