C'est le sentiment de la responsable de la Coordination nationale du Championnat scolaire et universitaire (CSU) pour résumer ses premiers mois d'activités. Pour l'ancienne capitaine de la sélection gabonaise de basket-ball, ces compétitions doivent être un tremplin pour les jeunes vers leurs carrières futures au haut niveau.
l'Union. Nommée à la coordination nationale du Championnat scolaire et universitaire (CSU), quel regard portez-vous sur celui-ci ?Géraldine YEMA ROBERT : Je porte un regard assez positif, au vu du délai dont j'ai bénéficié après ma nomination pour relancer le Championnat scolaire et universitaire. C'est un projet où sont impliqués les ministères des Sports et de la Vie associative, de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur. Malgré quelques problèmes dus au financement tardif, toutes les coordinations, départementales et provinciales ont été installées.
Relancé pour rebâtir le sport national, le CSU est à l'arrêt pour cause de Covid-19. Quel est votre sentiment ?
- Le monde entier est en guerre contre un ennemi invisible, le coronavirus. Des milliers de personnes meurent par jour ou sont infectées. Les décisions prises par les plus hautes autorités de fermer tous les établissements scolaires de manière provisoire, ainsi que d'interdire la pratique du sport en groupe, sont très louables et hautement justifiées. Par contre, comme l'a précisé le ministre des Sports, M. Franck Nguema, la pratique du sport individuel en plein air ou à la maison est à encourager.
Selon les différents calendriers scolaires et universitaires, pensez-vous que ce championnat pourra reprendre si la crise venait à trouver une issue favorable ?
- À ce jour, et au vu de la gravité de la situation, nous n'avons aucune date de reprise. Nous sommes en train de travailler sur des ajustements par rapport à notre programmation initiale.
Propos recueillis par Hans NDONG MEBALE
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