Bien malin, avant la fin du scrutin des législatives, qui aurait prédit la perte d'hégémonie du Parti démocratique gabonais (PDG) dans la Nyanga, où la formation politique au pouvoir comptait pourtant, à la précédente législature, 9 députés sur autant des sièges
Bien malin, avant la fin du scrutin des législatives, qui aurait prédit la perte d'hégémonie du Parti démocratique gabonais (PDG) dans la Nyanga, où la formation politique au pouvoir comptait pourtant, à la précédente législature, 9 députés sur autant des sièges.
Quoique la partielle organisée dans le siège unique de Mongo (Moulengui-Binza), laissé vacant par Jonathan Igoumba – qui vient du reste de le reconquérir – fut ensuite remportée par l'Arena de Richard Moulomba.
Aujourd'hui, comparer les deux époques serait déplaire aux contemporains. Tant la récolte qui en découle, au terme de deux tours des législatives, démontre, à plusieurs égards, que le PDG vient d'enregistrer une véritable chute libre. Le score de 5 députés étant en deçà des espoirs nourris avant vote et des promesses faites, en amont, de ramener au parti la quasi-totalité des sièges de députés que compte cette province.
Oubliant au passage que le terrain a ses réalités. Pis, que le peuple votant à ses aspirations et ses jugements (enfouis) qui sont généralement à l'opposé de celles entretenues par les hommes politiques.
Mais plutôt que de tenter de refiler la patate chaude de cette défaite a minima à quelques “boucs émissaires”, comme c'est devenu le procédé, les raisons à l'origine de cette déconvenu...
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