Il présente un résultat positif, excédentaire de 1 172 636 697 francs.

Le chef de l'Etat séjourne depuis samedi dernier à Charm-El-Cheikh, en Egypte, où il participe, depuis hier, aux côtés de son homologue égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, au Forum mondial de la Jeunesse.

Telle une profession de foi, le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Éric Dodo Bouguendza, a laissé entendre que ces assisses déboucheront sur une dynamisation du parti au pouvoir insufflée par " une nouvelle vitalité, énergie et vigueur".

C'est l'ambition dévoilée, samedi dernier, par le président de cette formation politique, Jean-Boniface Assélé, qui s'en est pris violemment, au passage, à son ancien vice-président Eloi Nzondo.

Outre ces deux aspects, quelques entrées et des promotions internes caractérisent le nouveau gouvernement qu'il conviendra d'appeler "Issoze Ngondet III". A noter également que certains ministres perdent quelques prérogatives au profit d'autres.

C'était au cours d'une séance de travail qui s'est tenue à l'immeuble du 2-Décembre avant-hier. Plusieurs membres du gouvernement y ont pris part.

L'acte a été posé, récemment, à Lomé, par le ministre gabonais des Affaires étrangères, Noël Nelson M'Essone, et son homologue togolais Robert Dussey.

Gérard Ella Nguema, président du Front patriotique gabonais (FPG), parti de l’opposition, a procédé, samedi dernier, au quartier "Ancienne Sobraga", à l’installation des responsables des structures des femmes de son parti au niveau communal et à celui des quartiers.

Au lendemain de la proclamation officielle des examens de fin d'année, le Parti démocratique gabonais (PDG), par l'entremise de Léandre Anoue Kiki, un de ses porte-paroles, a félicité, mercredi dernier, "le gouvernement et l'ensemble des enseignants qui ont concouru à la réussite de l'organisation du Bac, du BEPC et du CEP ainsi que tous les candidats déclarés admis".

Le ministre des Affaires étrangères a également saisi son rendez-vous avec les diplomates accrédités dans notre pays pour condamner la menace à la paix qui a lieu en ce moment dans la péninsule coréenne.

Les militants du Centre des libéraux réformateurs (CLR), la formation politique créée par le général Jean-Boniface Assélé, semblent prendre par le bon bout la démission de leur désormais ancien vice-président.

Le président du Rassemblement Héritage et Modernité (RHM) était, le week-end écoulé, dans la troisième province du Gabon. Ce séjour s'inscrit dans le cadre de la poursuite de l'implantation de sa formation politique dans l'arrière-pays.