Il s'agit d'un nouveau concept politique récemment lancé par le président de l'Alliance pour le changement et le renouveau (ACR). L'ancien vice-Premier ministre effectuait ainsi son retour sur la scène, depuis qu'il a observé une grève de la faim pour combattre "l'État-PDG" et la "sorcellerie politique".

Invité le week-end dernier aux festivités marquant le premier anniversaire du parti, "Les Démocrates", cet universitaire qui se réclame de la société civile, a longuement développé le thème ''malentendu et controverses sur un agenda politique national''.

Le ministre des Affaires étrangères en a profité pour discuter des possibilités de relever la coopération entre ce pays et le Gabon.

C'était au cours d'une cérémonie présidée par le leader du Parti social démocrate (PSD), Pierre-Claver Maganga Moussavou, par ailleurs vice-président de la République (VPR).

Le secrétaire national du Parti démocratique gabonais (PDG) en charge de l'Animation politique dans l'Estuaire l'a recommandé, mardi, aux militants du 3e arrondissement de Libreville. Dernière étape de son périple débuté il y a plusieurs semaines.

Tout en stigmatisant une "instrumentalisation de la Cour constitutionnelle", il a réaffirmé la participation de ses troupes au prochain scrutin législatif.

Il s’agit pour l'institution d’examiner les origines et les conséquences de la crise qui frappe le Gabon ; s'intéresser au nouveau Plan de redressement de l’économie adopté par le gouvernement, ainsi que l’impact économique et social de la pollution dans le pays.

La concertation d’hier au siège du Parti démocratique gabonais (PDG) avait pour objectif la préparation du conseil provincial de l’Estuaire. Un conclave qui devra harmoniser un certain nombre de points pour la tenue du congrès qui aura lieu dans les tout prochains jours.

La réaction du groupe parlementaire de l'opposition au Sénat (Front uni) ne s'est pas fait attendre, au lendemain de la convocation de Jean-Christophe Owono Nguema, un des ses membres, à la direction générale des recherches.

A l'initiative des nouveaux responsables du Mouvement de redressement national (Morena), une messe a été dite, samedi dernier, en l'église Saint-Michel de Libreville. Occasion pour le président du Morena, Thierry Ondo Assoumou, de faire, au sortir du culte religieux, l'historique dudit parti créé en 1981.

Au second jour du rituel républicain de présentation des vœux au chef de l’État, Ali Bongo Ondimba a invité, hier, au palais de la présidence de la République, l'ensemble des forces de défense et de sécurité à faire montre de plus de professionnalisme, de rigueur et d'exemplarité dans l'exercice quotidien de leurs missions, de manière à faire face aux nouvelles menaces auxquelles est confronté notre pays.

L'annonce, à demi-mot, de l'Union nationale de participer aux prochaines élections législatives vient clore les débats sur les avis contrastés d'un éventuel boycott de ce scrutin brandi par certains.