"Après toutes les victoires enregistrées par le Parti démocratique gabonais (PDG), depuis sa création jusqu'à ce jour, le Distingué camarade président nous demande d'aller plus loin, plus vite et plus. Pour y parvenir, des choix positifs s'imposent et nécessitent d'analyser et d'évaluer nos modes de fonctionnement et les faiblesses de notre système."

« Confirmer le résultat obtenu lors de la présidentielle de 2016. » C'était le principal objectif que s'étaient fixés les responsables du Parti démocratique gabonais (PDG) à l'entame de ce processus électoral.

Pour le député de Pana, par ailleurs président de l'Assemblée nationale, l'épanouissement des populations reste la priorité. Il l'a indiqué récemment dans sa circonscription, dans le cadre du rendu des activités de la session parlementaire qui s'est achevée à la fin du mois de juin dernier.

Le ministre de l'Égalité des chances et de la Jeunesse a représenté le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, au Forum international de la jeunesse en Égypte. Il a été question, lors de son allocution, de décliner les enjeux de la politique gouvernementale relative à cette catégorie de la population gabonaise.

Le directeur de Cabinet du président de la République (DCRP), Brice Laccruche Alihanga, a achevé sa tournée républicaine, hier, dans le Woleu-Ntem, par une rencontre dite citoyenne, dans l’enceinte du Palais Omar-Bongo-Ondimba (Pobo) d’Oyem. En présence du gouverneur du septentrion, Joël Ogouma, des membres du gouvernement, des cadres, notables, jeunes et acteurs politiques de tous bords originaires de ladite province.

C'était à la faveur d'un point de presse tenu récemment à Port-Gentil.

Le chef de l'État libérien séjourne dans notre pays pour une visite de travail et d'amitié de 72 heures.

Réagissant à la récente sortie du porte-parole du Parti démocratique gabonais (PDG), Estelle-Flore Angangou, au cours de laquelle, on s'en souvient, elle s'était indignée et avait condamné de la plus forte des manières les propos tenus par le leader de la Coalition pour la nouvelle République (CNR), Jean Ping, en les qualifiant notamment de " haineux, hostiles, malveillants et violents", tout en estimant que celui-ci avait fait montre, une fois de plus, de " son décalage voire sa totale rupture avec la démocratie", le porte-parole adjoint de la CNR, Armelle Yembi, a jugé, vendredi dernier, au cours d'une déclaration, " cette sortie inopportune"