Dans le cadre des consultations qu'il mène depuis plusieurs jours, dans la perspective de nouvelles mesures relatives à la lutte contre le coronavirus dans notre pays, le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, s'est rendu au palais Omar-Bongo-Ondimba, siège du Sénat, jeudi dans l'après-midi.
Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a reçu, hier en audience, à Wuhan (Chine), Ren Jianguo, directeur exécutif de China Gezhouba Group Corporation Ltd (CGGC), une entreprise chinoise spécialisée dans la transmission et la transformation énergétique
Lancée dernièrement par le chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba, "l'union sacrée pour la République" est une idée à laquelle adhère Démocratie nouvelle (DN).
Au terme des premiers résultats issus des urnes non encore confirmés par le Centre gabonais des élections (CGE), le parti au pouvoir est déjà crédité, dès le premier tour, de plus de 90 sièges à l'Assemblée nationale, et domine les conseils locaux. Pendant que des figures de proue de l'opposition essuient de sérieux revers un peu partout.
Il s'agit essentiellement des projets de loi et de décrets recouvrant plusieurs domaines, dont le transport, les ressources hydrauliques, la gestion des ordures ménagères, la propriété industrielle ou la lutte contre le Covid-19.
En application des dispositions de l'article 43 de la Loi fondamentale, la première session ordinaire du Parlement, dite "des lois", prend fin ce mardi. "Le Parlement se réunit de plein droit au cours de deux sessions par an. La première session s'ouvre le premier jour ouvrable de mars et prend fin, au plus tard, le dernier jour ouvrable de décembre", dispose ledit article de la Constitution.
A l'instar de plusieurs autres ténors de la Coalition pour la nouvelle République (CNR) dont son parti politique est membre, le président de l'Union pour le progrès et la liberté (UPL), Édouard Engohan Aloghe, a, à son tour, condamné, samedi dernier, au cours d'une déclaration, la décision rendue par la Cour constitutionnelle le 14 novembre dernier, en la qualifiant "de forfaiture".
QuoiI qu'en disent certains, l'histoire retiendra que c'est sous la présidence du chef de l'État gabonais, Ali Bongo Ondimba, que la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC) aura opéré et réussi sa mue, en instituant une Commission à la place du secrétariat général.
Un au revoir certes sobre, en raison des restrictions imposées par le nouveau coronavirus, mais d'une grande portée symbolique. C'est ce à quoi a eu droit, Ahmad Allam-mi, secrétaire général sortant de la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC), hier, dans les locaux du ministère des Affaires étrangères.