L'idée d'une éventuelle nouvelle trêve sociale a été émise pour la première fois par le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, à l'occasion de la remise, à lui, du rapport général du Dialogue politique tenu en avril et mai 2017 au stade d'Angondjé.

Les festivités liées à la disparition de l'ancien leader de l'Union du peuple gabonais (UPG) pourraient déboucher sur d'éventuels dérapages.

Nommé le 27 février 2017, l'ambassadeur du Gabon en France, Flavien Enongoue, a récemment présenté ses lettres de créance au président français, Emmanuel Macron, qui avait à ses côtés plusieurs de ses collaborateurs.

Une semaine durant, dans la capitale française, un panel de juristes, historiens, linguistes, sociologues, etc., devrait répondre à une interrogation : " Cinquante ans après la mort du président Léon Mba, que reste-t-il de sa vie, à bien des égards, exemplaire ?"

Entouré de plusieurs leaders de partis politiques se réclamant de l'opposition radicale, Louis-Gaston Mayila a appelé à la réconciliation nationale. Car pour lui, depuis 2009, la haine et l'intolérance ont cristallisé les rapports dans la société gabonaise.

Le ministre de l'Intérieur a saisi l'occasion de son récent séjour dans cette ville, pour sensibiliser les différents maillons de l'administration locale sur les dernières mesures prises par Ali Bongo Ondimba. Principalement celles issues de son discours à la nation du 31 décembre dernier.

Après avoir fait une analyse de la situation sociopolitique et économique actuelle du Gabon, l'Union socialiste progressiste (USP), parti politique se réclamant de l'opposition a, par la voix de son premier secrétaire,Henri Mbira Nze, proposé un certain nombre de pistes de solution.

En marge des travaux de la conférence ministérielle des Non-Alignés, Noël Nelson Messone et Elmar Mammadyarov ont exploré les voies et moyens de renforcer les relations entre leurs deux pays.

La secrétaire générale adjointe 4 du Parti démocratique gabonais (PDG), en charge de l'Union des femmes de ladite formation politique, Chantal Mebaley, a organisé, récemment, à l'auditorium de l'immeuble Arambo, un atelier de sensibilisation sur les droits des femmes. Lequel avait pour thème : "Femmes gabonaises, connaissez-vous vos droits ?".

Le texte relatif à la création, organisation et fonctionnement de la Haute autorité de la Communication (HAC) qui remplace le Conseil national de la communication (CNC), préalablement défendu par la ministre d'Etat en charge de la Communication, Guy Bertrand Mapangou, a été ratifié mardi. C'était au cours d'une séance plénière présidée par Lucie Milebou Aubusson Mboussou. Plusieurs autres textes ont été également votés.

C'est le vice-Premier ministre Bruno Ben Moubamba, chef de la délégation gabonaise dans le cadre des Jeux de la Francophonie à Abidjan, qui en était porteur. La ministre des Sports Nicole Assélé, était également présente à l'audience.

Dite budgétaire, la seconde session ordinaire du Parlement s'ouvre aujourd'hui. Outre l'examen de la loi de Finances 2018, elle devrait faire la part belle aux Actes du Dialogue politique.