C'est le point essentiel des échanges, il y a quelques jours, entre le Premier ministre et le ministre de tutelle, dans le cadre du conseil de cabinet interministériel.
Le chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), a porté haut la voix de la sous-région en intervenant, hier, par visioconférence, lors de la 3e édition du Forum de Paris sur la paix.
Si l'on s'en tient à certaines indiscrétions, l'Assemblée nationale devrait adopter, avant la fin de cette session parlementaire, la proposition de loi portant reconnaissance légale et fixant le régime juridique du mariage coutumier en République gabonaise.
Alors qu'il faisait face à certains pays de la région d'Afrique centrale, notamment la République démocratique du Congo (RDC) et le Tchad, le Gabon a été choisi comme candidat de l'Union africaine (UA) au siège de membre non permanent du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies (Onu). L'UA a rendu officielle la désignation de notre pays et du Ghana.
C'était lors de la clôture de ses assises, dimanche dernier à N'Djamena, dans la capitale tchadienne. Le Gabon y était représenté par le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale.
En retraçant le contexte difficile dans lequel vit le Gabon depuis la présidentielle d'août 2016, La Coalition pour la nouvelle République (CNR), rassemblée autour de Jean Ping, s'est exprimé, hier, sur les événements survenus à Libreville, le 7 janvier dernier.
Ce dernier, en la personne de Jean-Paul Moubembé, a été officiellement installé, jeudi dernier, par le président du Front d'égalité républicaine (FER), Bonaventure Nzigou Mamfoumbi, à la faveur d'une cérémonie, au siège dudit parti.