Le ministre d'Etat gabonais en charge de l'Enseignement supérieur était porteur d'un message du président Ali Bongo Ondimba à son homologue centrafricain.
MANDATÉ, jeudi dernier, 15 mars 2018, par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, auprès de son homologue centrafricain, Faustin-Archange Touadéra qui l'a reçu en audience, le ministre d'Etat gabonais en charge de l'Enseignement supérieur, Guy-Bertrand Mapangou, était porteur d'un message dont la nature n'a pas été dévoilée.
Notons, toutefois, que cette mission en terre centrafricaine intervient au lendemain de la visite effectuée à Libreville par le numéro 1 centrafricain, et après la décision prise par l'Etat gabonais, lors du dernier Conseil des ministres, de rapatrier définitivement ses troupes à Libreville. Cela, après plusieurs années de soutiens multiformes et permanents envers un pays et un peuple frère divisé par une profonde crise intra-muros. Laquelle met aux prises deux entités ethniques condamnées pourtant à vivre ensemble : les musulmans (Séléka) et les chrétiens (Anti-balakas).
En Centrafrique, le Gabon à lui seul comptait plus de 400 soldats pour le maintien de la paix, dans le cadre de la Mission des Nations unies.
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