l’union
l’union. Le gouvernement a organisé, hier, à travers le ministère des PME et de l’Artisanat, et avec l’appui technique de l’ambassade de France, la Journée nationale de l’artisanat à l’Institut français du Gabon (IFG). Quels ont été, pour vous, les temps forts de cet événement ?Philippe AUTIÉ : L’organisation de la Journée nationale de l’artisanat à l’Institut français du Gabon (IFG) a été le fruit d’une coopération étroite entre le ministère des PME et de l’Artisanat et l’ambassade de France. Cette coopération s’est tissée dans la continuité de l’élaboration de la loi gabonaise sur l’artisanat en 2017, et a concerné plus spécifiquement la création d’une Chambre nationale des métiers au Gabon. La journée du 21 novembre s’est articulée autour de plusieurs temps forts. Des stands, installés tant sur les espaces extérieurs qu’à l’intérieur de l’IFG, ont mis en valeur différents corps de métiers liés à l’artisanat au Gabon. En matinée, l’Assemblée permanente de la Chambre des métiers et de l’artisanat (APCMA) de France a restitué l’étude de faisabilité relative à la création d’une Chambre nationale des métiers au Gabon. En début d’après-midi, nous avons lancé, toujours en étroite collaboration avec le ministère des PME et de l’Artisanat, le concours de la maison "100 % gabonaise accessible à tous". Ce concours, à destination des architectes inscrit... Propos recueillis par Maxime Serge MIHINDOU
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