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Société & Culture

Festival Black history arts  : la place des cultures noires dans l'universalité

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Après la première édition l'an dernier, avec pour marraine l'artiste-musicienne Annie-Flore Batchiellilys, le Festival black history arts se tient depuis le 1er février (11-18 heures) au Musée national du Gabon et ce, jusqu'au 28 février, avec l'universitaire et écrivaine Justine Mintsa comme marraine de l'édition 2 022. Fruit d'une collaboration bénévole entre l'association Slam Master et une pléthore d'artistes gabonais (écrivains, chanteurs, rappeurs, slameurs, peintres, dessinateurs, infographes, animateurs, stylistes), ce grand rendez-vous culturel interroge la place des cultures noires dans l'universalité.

 

Comment être Black et apporter une plus-value au rayonnement de l'humanité ? Placé, cette année, sous le thème : "Nègre avec attitude", le festival Black history arts a réuni plusieurs intelligences pour explorer ces questionnements, en donnant une place de valeur à l'art et en établissant un lien historique pour la préservation de la culture noire. D'où la programmation d'activités, avec des conférences-débats (les 2, 9, 16 et 23 février 2022), un concours d'éloquence en langue maternelle (21 février), et la soirée Black history arts (26 février). "Toutes les identités culturelles ont droit à une visibilité. La culture black a beaucoup à donner. Il importe qu'elle soit visible et qu'elle puisse imposer des manières et des valeurs universalisables, parce qu'aucune culture n'est supérieure à une autre", a indiqué la marraine Justine Mintsa lors du lancement du festival ce 1er février.

 

Frédéric Serge LONG

Libreville/Gabon

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