Poursuivre à tout prix des études à l'étranger et ramener un diplôme finalement non reconnu par l'État gabonais. C'est la grande hantise de certains étudiants gabonais mal informés.
Pour prévenir de tels risques, des jeunes compatriotes se sont réunis autour du concept ''Major'home'' visant à aider les jeunes étudiants désirant poursuivre leurs études à l'étranger à opérer les bons choix depuis le pays.
C'est dans cette perspective que s'est tenu hier à Libreville le grand salon d'inscription à l'étranger. Cette plate-forme a permis de mettre en relation les parents et les étudiants avec les responsables des établissements universitaires à l'étranger. Notamment au Maroc, en Tunisie, en France, en Chine, au Canada ou aux États-Unis.
L'objectif visé étant, selon le cofondateur de la structure, Ondoua Zeh Mehdi, d' "offrir une occasion aux jeunes de venir découvrir les procédures d'inscriptions auprès de plusieurs grandes écoles reconnues par l'État gabonais ainsi que les modalités y afférentes". En bref , "voir les possibilités d'apprendre à l'étranger dans de bonnes conditions ", a-t-il précisé.
Pour cette édition, les principales grandes écoles mobilisées avaient, selon les explications fournies aux bacheliers (nouveaux et anciens) non seulement la particularité de mettre beaucoup plus en avant les métiers d'avenir mais surtout de privilégier la pratique à la théorie.
SNN
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