Que les Cogneuses de Patricia Assoumou et le Mouvement des anciens handballeurs mené par Elie Mounganga remportent le trophée de vainqueur chez les dames et messieurs, restera pour l'anecdote. Ce que retiendra la mémoire collective, plus que le sacre des équipes où ont évolué les deux anciens internationaux gabonais, c'est le ''happy end'' de la première édition de la Grande nuit du handball et le souhait massif de sa perennité.
C'est que la première levée, abritée par le gymnase Dominique Boukopo du camp Baraka, a donné satisfaction à tous les niveaux. Ou presque. Entre le coup d'envoi et la remise des trophées, il y a eu plus de 14 heures de handball non-stop et des moments de partage sur et en dehors du terrain, entre diverses générations de handballeurs. En présence notamment des officiels de la Fédération gabonaise de handball (Fégahand), de la Ligue nationale et d'élite professionnelle de handball (Lineph) ou de la Ligue de handball de l'Estuaire.
Tous ont salué l'initiative de l'association Vieilles gloires de handball de l'Estuaire (VGHE) qui, après ses actions de promotions à Lambarené et Mouila, s'est inspirée de la Grande nuit des arts martiaux et de la Grande nuit sportgentillaise, pour offrir aux acteurs du handball gabonais un rendez-vous nocturne festif. Mais aussi, une cellule de réflexion sur le devenir de la discipline d'origine allemande au Gabon.
James Angelo LOUNDOU
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