Compte tenu du fait que ce fléau continue de décimer des vies, le Collectif des jeunes actifs du 1er arrondissement de Libreville a organisé hier une formation à l'intention des associations engagées dans l'assainissement et la santé.
Face au paludisme, l'apport de tous est vivement attendu. Maladie parasitaire due à la piqûre d’un moustique du genre anophèle femelle, elle a entraîné 216 millions de décès dans le monde. Avec une forte incidence sur les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans.
L'action de la société civile s'avère donc plus que vitale. C'est la raison pour laquelle le Collectif des jeunes actifs du 1er arrondissement de Libreville (CJA) a organisé hier, de 9 à 15 heures, en présence, notamment, du maire dudit arrondissement, M. Obame Emane, et du directeur du PNLP, le Dr Safiou Abdou Razack, à la mairie de Haut-de-Gué-Gué, une formation à l'intention des associations engagées dans le combat contre ce fléau, et qui œuvrent dans le domaine de l'assainissement et de la santé. Cela en partenariat avec le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et les Organisations de la société civile (OSC).
« Il s'agit de mettre toutes nos énergies pour contrer ce fléau, répandu surtout sur notre continent, précisément en Afrique subsaharienne. Le paludisme tue au moins un Africain à chaque minute », a déclaré Harry Gabriel Rakilo Ngnima, président du CJA.
Frédéric Serge LONG
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