Celles-ci devront tenir compte de l’impératif écologique. Toutefois, les pays africains se disent inquiets du retard pris sur la concrétisation, par les parties, des engagements pris lors de la COP 21.
LE ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, Régis Immongault Tatangani, a convié le corps diplomatique à une importante réunion, hier, dans une structure hôtelière de la place.
Il s’est agi d’informer les plénipotentiaires des résultats obtenus lors de la mission de plaidoyer en faveur de l’Initiative de l’Afrique pour l’Adaptation (IAA), qu’il a menée, du 26 mai au 7 juin 2018, dans les principales capitales européennes et à New York (USA), accompagné d’une délégation de l’IAA, du Conseil national Climat et du représentant-résident du PNUD au Gabon.
Au cours de cette rencontre, le ministre d’État a également exposé les perspectives, en vue de la préparation de l’importante table ronde des donateurs qui se tiendra, le 24 septembre 2018, à New York, en marge de la soixante-treizième session de l’Assemblée générale des Nations unies.
Lors de son intervention, le chef de la diplomatie gabonaise a déclaré que l’Afrique subit de plein fouet les conséquences du dérèglement climatique. D’où la nécessité d’adopter de nouvelles stratégies de développement tenant compte de cette problématique.
J-C. A
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