l’union : Vous avez organisé dernièrement les journées de redynamisation de la pétanque dans la ville de Koulamoutou
l’union : Vous avez organisé dernièrement les journées de redynamisation de la pétanque dans la ville de Koulamoutou. Quel était leur objectif ?
Guillaume Guessan Mbadinga : Ces journées de redynamisation dans le chef-lieu de l’Ogooue-Lolo étaient axées sur des échanges entre les responsables de la Ligue provinciale et les boulistes, ainsi que la formation.
Depuis quand la fédération de pétanque existe-t-elle dans notre pays et qui a eu l’idée de la créer ?
La Fédération gabonaise de pétanque (Fegap) existe depuis le 18 février 2005. C’était au cours d’une assemblée générale constitutive qui s’est tenue au salon d’honneur du complexe omnisports Omar-Bongo. Son premier président a été Jules Aboghe Nguema. Avec ce dernier, André Mba et moi-même sommes les initiateurs de ce projet fédéral dans notre pays. Projet soutenu par plusieurs personnes qui nous ont permis d’atteindre notre objectif. La Fegap est membre de la Fédération Internationale de Pétanque et Jeu Provençal (FIPJP) et de la Confédération africaine de pétanque depuis 2006.
Combien de licenciés compte la Fegap aujourd’hui ?
Officiellement, la Fegap compte 150 licenciés. Nous attendons des nouvelles adhésions avec la redynamisation des autres ligues telles que la Ngounié, le Haut-Ogooué, l’Ogooué-Maritime, l’Ogooué-Ivindo. Nous pensons passer du simple au double. Ou plus.
Quelles sont les activités déjà lancées par votre fédération ?
Nous avons lancé plusieurs activités depuis que nous existons. Pour parler de la saison sportive dernière, au-delà des compétitions d’ouverture de la saison, nous avons organisé récemment la coupe de la Fédération.
Propos recueillis par PSNB
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