Libreville, siège du Bureau régional de l'Organisation internationale de la Francophonie pour l'Afrique centrale, abrite, depuis hier, l'atelier régional sur l'Examen périodique universel (EPU) à l'hôtel Boulevard, dans le 5e arrondissement de la commune.
Initié à l'intention des États d'Afrique centrale membres de la Francophonie, cette rencontre a pour objectif d'examiner et d'améliorer la situation de tous les droits de l'Homme dans l'ensemble des États membres des Nations unies, selon un format et des règles identiques.
Pour Boubacar Noumansana, représentant régional de l'OIF pour l'Afrique centrale, ce programme tombe à point nommé. " L'idée de réunir régulièrement des représentants d'États francophones afin d'analyser ensemble les potentialités et les défis de l'Examen périodique universel (EPU) coïncide avec la création de ce mécanisme onusien d'examen par les pairs, de la situation des droits d l'Homme sur le terrain. Car, c'est justement en 2008, année du lancement du premier cycle de l'EPU, que les États francophones ont demandé à l'OIF d'organiser des rencontres d'échange d'expérience et d'expertises", a-t-il précisé.
Par ailleurs, Jean Berclémence Taty, directeur de cabinet du ministre d'État à la Justice, Garde des sceaux, a félicité, au nom de la tutelle, le comité d'organisation et assuré du soutien des autorités gabonaises au lancement de ce programme.
D.O
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