Le Conseil exécutif du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) s'est réuni il y a quelques jours à Libreville. En l'absence du président Alexandre Barro Chambrier, c'est Senturel Ngoma Madoungou qui a présidé les assises. Lesquelles ont porté, entre autres, sur les sujets d'actualité et sur les questions relatives à la vie du parti.
La problématique de la réhabilitation des universités et grandes écoles n'était pas en reste. Tout en prenant acte de ''l'intention du gouvernement de procéder dans le cadre de son programme d'actions prioritaires, à la réhabilitation des universités et grandes écoles'', le RPM a estimé que ce n'est pas la solution.
À travers son porte-parole, Pierre Ndong Meye, le Conseil estime que ce programme ''ne constitue pas la réponse appropriée aux énormes besoins des établissements d'enseignement supérieur qui attendent un véritable plan de développement de leurs structures au moyen d'investissements conséquents''. Par ailleurs, le RPM s'est interrogé sur la pertinence de ces travaux ''en pleine année académique". Estimant que ceux-ci n'auront pour conséquence que la perturbation ' 'du cours normal des activités universitaires''.
Sur un tout autre plan, le Conseil exécutif a abordé la question de la reprise du dialogue politique ''normalisé et régulier'' entre l'Union européenne et le gouvernement gabonais.
Martina ADA METOULE
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique