Dans une interview qu'il a bien voulu accorder à notre rédaction, le responsable de l'ANBG dissipe les inquiétudes qui pourraient se créer dans l'esprit des élèves en possession, depuis le 15 janvier dernier, de leur bourse du 3e trimestre. Par la même occasion, il donne des informations sur les principes qui régissent le fonctionnement de l'agence, les délais d'exécution qu'elle se doit de respecter dans ses opérations, ainsi que les difficultés auxquelles elle est sans cesse confrontée.
l'Union : Après le paiement de la bourse du 3e trimestre due aux élèves, s'achemine-t-on vers celui du 4e trimestre, la "bourse de passage" ?
Saint Thomas Tholeck Leckogo-Eckunda : Vous savez, notre société a actuellement une difficulté de fonctionnement et de régulation de ses activités. (...) La bourse du quatrième trimestre, pour qu'elle soit payée, il faut bien qu'un certain nombre d'opérations soient effectuées en amont : la classification des ayants droit à la bourse, la transmission à l'Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) des listings mis à jour par les chefs d'établissements scolaires, et la double vérification à la fois par l'agence comptable de l'ANBG et les établissements.
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