Elle appréhendait un peu la rencontre. C'est finalement une Peggy Lucie Auleley comblée, qui s'en est retournée à ses créations littéraires.
LE Club Lyre a décidément pris ses marques ! Sur la même lancée, celle de promouvoir la littérature d'ici et d'ailleurs, ce cercle de promotion littéraire et artistique a reçu, le 30 mai dernier, un pur produit du terroir : Peggy Lucie Auleley, enseignante de français, censeur de la Vie au lycée public de Montalier, et femme de plume. La quatrième invitée mensuelle des '' Lyriens'' est revenue dans une Université Omar-Bongo qui l'a aidée à fourbir ses armes, a-t-elle signalé. Elle la qualifie d'ailleurs '' d'enfer'' duquel elle est sortie avec beaucoup de savoirs.
« Merci de m'avoir fait revenir ici. Nous sommes enfin tombés sur quelqu'un qui a soif de faire connaître les petites gens de la littérature gabonaise », a lancé la jeune poétesse à l'adresse de Rodrigue Ndong, fondateur du Club Lyre. Et de dire son appréhension à la réception de l'invitation du Club. « Je me suis dit, voilà peut-être l'occasion pour moi de connaître comment je travaille. Et je suis heureuse que les étudiants du Club Lyre aient décortiqué mon œuvre », s'est félicitée l'écrivaine.
Pour la circonstance, les " Lyriens" ont jeté leur dévolu sur deux ouvrages de l'auteure : '' Les larmes du soleil'' et '' Soleils étranglés'', pour la simple raison que l'un est la suite de l'autre.
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