Le 31 janvier dernier, les deux parties ont fait le point des activités du groupe marocain au Gabon. En toile de fond : mieux partager leur dessein commun d’augmenter la production de l’or et de maintenir cette activité sur la durée.
L’ETAT gabonais et le groupe marocain Managem ont exprimé leur ambition commune de rehausser la production aurifère du Gabon, grâce à la poursuite d’un partenariat basé sur deux axes : un échange prospère et permanent des procédés, et une amélioration de la responsabilité sociétale des entreprises. C’est ce qu’il ressort de la rencontre de travail du 31 janvier 2017, entre le gouvernement représenté par le ministre des Mines, Christian Magnagna, et une délégation de Managem, conduite par son président-directeur général, Imad Toumi.
Un dessein "profitable" qui, comme l’a reconnu le ministre gabonais, fait, aujourd’hui, du groupe marocain un opérateur important dans l’économie gabonaise, en ce qu’il est l’unique acteur exerçant dans l’exploitation industrielle de l’or au Gabon. C’est en 2010 que le groupe Managem a conclu, avec le gouvernement, une convention pour l’exploitation de la mine d’or de Bakoudou et l’exploration des extensions de ce gisement. Une seconde convention a été signée avec le même groupe pour l’exploration et le développement du projet aurifère d'Etéké.
G.R.M.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complèteRetournez à la rubrique Gabon économie Gabon