Dispositifs de sécurité permettant la régulation de la circulation routière, les feux tricolores sont d'un apport indéniable. Mais lorsque certains ne servent véritablement pas à grand chose, parce que considérés comme “ alternatifs”, il importe simplement de les désactiver.
C'est le cas du “feu” au carrefour dit des Affaires étrangères. Notamment celui régulant l'intersection qui mène vers le CHU Fondation Jeanne-Ebori. Les usagers disent avoir remarqué que tout le temps que ce feu alternatif est resté hors-usage, il y a quelques semaines, la circulation était devenue des plus fluides sur cet itinéraire. Ce qui n'est plus le cas depuis quelques jours avec sa réfection et sa réactivation.
Conséquence, les embouteillages énormes ont repris. Surtout aux heures de pointe. Toute chose qui exaspère. Au point que plusieurs automobilistes qui empruntent cette voie chaque jour se demandent si les autorités en charge de la circulation routière ne peuvent pas faire autrement. En désactivant, par exemple, la signalisation de ce côté. Comme ils l'ont fait au carrefour Saint-Michel, devant l'Assemblée nationale, au carrefour de Derrière-la-Prison et, dans une moindre mesure, sur l'un des feux devant la présidence de la République.
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon